Difference between revisions of "Israël et L'Humanité - Vanité des dieux du paganisme d'après les conception bibliques"

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Veldts des dieux du paganisme d'aptes les conceptions bibliques.
  
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Nous'aurions pu réfuter les objections qui sont faites au me­nothêisme massique en prouvant simplement, ce qui nous eût été facile, que d'une manière générale les dieux du paganisme ne sont, >box yeux des écrivains sacrés, qu'un par néant. Mais tant d'autres
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textes semblent établir le contraire que nous avons cri, suivre un procédé pins scientifique et obtenir un, démonstration plus ce,,­piste en étudiant avec. soin les passages allégués en faveur de pré­tendu polythéisme israélite. L'examen que nous avons fait de ces do,wiers nous permet du moins, nous semble‑t‑il, de conclure quau peint de vue de la religion d1lsra~q les divinités païennes étaient conçues tout autrement que par les Gontils eux mêmes. C~est ce que nous nous sommes efforce j,sqii~,Èl présent (le mettre en la­mière et en étudiant maintenant brièvement les textes qui inca­vent, Pinaiiitâ tics dieux du laganisme, nous achèverons dû donner à cet égard la véritable physionomie (lu judaïsme antique, en même temps que nous repousserons détinitivement j'accusation de polythéisme.
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il on déjâ, ce que nous espérons démontrer clairement plus tard, que tous ces passages en apparence contes­dictaires se concilient parfaitement dans me doctrine supérieure, d'après laquelle la Bible affirme la réalité des dieux et le rôle qu'ils jouent dans l'ordre universel, lorsqu'elle s'exprime librement au point da vue strictement israélite en dehors (le toute contre­verse avec les païens, tandis qu'elle nie énergiquement jour exis­tence quand il s'agit de combattre les prétentions des polythéistes d'égaler leurs divinités particulières au Dieu unique, dont cAlles‑ei n'étaient que (les attributs on des aspects détachés.
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Rappelons en premier lieu les textes innombrables où la divi nité est revendiquée pour Avaya sont. Les noms mêmes que portent mi hébreu les dieux des Gentils prouvent que pour los Juifs les dieux, tels que se les imaginent les païens, ne sont rien. Le mot elil, idole, que nous trouvons dans le Pentateuque, dans les pro. phètes et dans les psaumes, est à notre avis composé de al, né. gation et el, dieu, al‑el, non‑dieu. L'ouphoriie avec J5tahine doit avoir contribue au choix de ce nom, car l'on sait la prédilection de la Bible pour ces sortes d'assonnances quand il s'agit d'exprimer de, idées opposées, probablement pour mettre t'antithèse plus en relief par le contraste de la ressemblance du son. Un texte du Deutéronome confirme notre interprétation étymologique: ~ Ils ont excité ma jalousie par ce qui n'est point Dieu; ils m'ont irrité par leurs vaines idole,; et ,ci, j'exciterai leu, jalousie, par es qui n'est point an peuple, je les irriterai par mie nation !recasée ~ (').
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      De même dans Osée, la fille de (miner porte le nom symbolique
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      (non mon peuple), Lie verset de Jérémie traduit en termes aussi
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sauce malfaisante te), car c'était sous ce caractère la que feu envi­
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tuent v (~). La suite du passage, du Deutéronome plus haut cité conforme nue allusion évidents au culte des eïrin: « Ils ont sa, criüê aux schédim qui ne sont Pas Dieu, à des Elokim qu'ils ne connaissaient point, nouveaux, venus depuis Pei, et que vos pères ",avaient pas craints ~, et, pou, traduire littéralement ‑ car le. ,,,et employé ici est celui dont dérive Ië nom des seïriin ‑ x que vos pères n'avaient point séirê , ('). D'après la racine du mot, c'est, romans pour les schédiiii, de la force désordonnée qu'il s'agit lei (n)‑
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La Bible ne se borne pas à proclamer l'inanité des dieux dit paganisme par les termes qu'elle emploie, pour les désigner; elle nie encore leur divinité de la facon la plus formelle. Nous laisse­rons de côté les innombrables passages qui jettent sur les idoles l'opprobre et le ridicule, car on pourrait nous objecter que les ëerivains sacrés ont seulement en vue 169 statues on les images et non point les dieux eux‑mêmes dont elle& étaient la reprAmm­talion. Voici quelques exemples qui paraîtront plus probants. x Sa­muel dit au peuple: N'ayez point de crainte ! Vous avez fait tout ce mal, mais ne vous détournez pas de l'Eternel, et servel, l'EternAl de tout votre coeur. Ne vous en détournez pas‑, sinon vous iriez après des choses do néant (% qui alapportont ni profit ci dêIi_ vrance, parce que ce sont des choses de néant ~ (5). Et Eêehias, dans sa prière: e fi est vrai, ô Pternel! que les rois d'Assyrie ont détruit les nations et ravagé leur pays, et qu'ils ont jeté leurs (lieux dans le fou; mais ce n'étaient point des dieux, c'étaient des ouvrages de mains d'homme, do bois et de la pierre, et ils les ont anéantis » ('). Dans ce passage, bien qu'il soit question des images, il n'est pas douteux que les divinités elles‑mêmes ne soient eonsidérées comme inexistantes. Ecoutons encore les paroles de David: « L'Etrnel est grand et très digne do louange, il est redoutable par‑dessus tous les dieux; eue tous les dieux des gentils sont de vaines idoles (élilfin), mais l'plieras] a crêé les cieux ~ ('). Aux yeux de l'écrivain sacré, celui qui a créé les cieux n'est pu seulement Dieu, il est le seul Dieu possible, puisqu'il a appelé à l'existence le totalité'
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      La ruine J.VW exprime 171dêe de bouleversement, tempête.
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DIEU ET LES DIEUX                                                                                22J
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des êtres et qu'ainsi il n'en est aucun qui ne lui doive la vie. Emin, lorsque Elie reproche .ni peuple (le clocher des deux côtés, il Wêcrie: < Si c'est Avaya qui est Dieu, allez aprèx lui! si c'est Baal, olles, après lui! ,, Et l'ép'euve te,,,,inêe, toute la foule con­fesse d'cas seul, voix; «. C'est Avoya qui esL Dieu! c'est Avaya qui est Die,! ~ ('). Pou, les Juifs, comme pour Elie qui leur adreme la parole, il ne peut être question de plusieurs dieux, même inè­ga,x en puissance; il n'y a qu'un seul Dieu, et c'est celui qu'adore lswaël.
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xvin,
 
==References==
 
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<references />
 
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Revision as of 11:48, 12 November 2009

Veldts des dieux du paganisme d'aptes les conceptions bibliques.


Nous'aurions pu réfuter les objections qui sont faites au me­nothêisme massique en prouvant simplement, ce qui nous eût été facile, que d'une manière générale les dieux du paganisme ne sont, >box yeux des écrivains sacrés, qu'un par néant. Mais tant d'autres


Ixoc, vin, S.


218 PTAP


textes semblent établir le contraire que nous avons cri, suivre un procédé pins scientifique et obtenir un, démonstration plus ce,,­piste en étudiant avec. soin les passages allégués en faveur de pré­tendu polythéisme israélite. L'examen que nous avons fait de ces do,wiers nous permet du moins, nous semble‑t‑il, de conclure quau peint de vue de la religion d1lsra~q les divinités païennes étaient conçues tout autrement que par les Gontils eux mêmes. C~est ce que nous nous sommes efforce j,sqii~,Èl présent (le mettre en la­mière et en étudiant maintenant brièvement les textes qui inca­vent, Pinaiiitâ tics dieux du laganisme, nous achèverons dû donner à cet égard la véritable physionomie (lu judaïsme antique, en même temps que nous repousserons détinitivement j'accusation de polythéisme.

Peutrêtre entravoâ ‑

il on déjâ, ce que nous espérons démontrer clairement plus tard, que tous ces passages en apparence contes­dictaires se concilient parfaitement dans me doctrine supérieure, d'après laquelle la Bible affirme la réalité des dieux et le rôle qu'ils jouent dans l'ordre universel, lorsqu'elle s'exprime librement au point da vue strictement israélite en dehors (le toute contre­verse avec les païens, tandis qu'elle nie énergiquement jour exis­tence quand il s'agit de combattre les prétentions des polythéistes d'égaler leurs divinités particulières au Dieu unique, dont cAlles‑ei n'étaient que (les attributs on des aspects détachés.

Rappelons en premier lieu les textes innombrables où la divi nité est revendiquée pour Avaya sont. Les noms mêmes que portent mi hébreu les dieux des Gentils prouvent que pour los Juifs les dieux, tels que se les imaginent les païens, ne sont rien. Le mot elil, idole, que nous trouvons dans le Pentateuque, dans les pro. phètes et dans les psaumes, est à notre avis composé de al, né. gation et el, dieu, al‑el, non‑dieu. L'ouphoriie avec J5tahine doit avoir contribue au choix de ce nom, car l'on sait la prédilection de la Bible pour ces sortes d'assonnances quand il s'agit d'exprimer de, idées opposées, probablement pour mettre t'antithèse plus en relief par le contraste de la ressemblance du son. Un texte du Deutéronome confirme notre interprétation étymologique: ~ Ils ont excité ma jalousie par ce qui n'est point Dieu; ils m'ont irrité par leurs vaines idole,; et ,ci, j'exciterai leu, jalousie, par es qui n'est point an peuple, je les irriterai par mie nation !recasée ~ (').


(~) XII,,, 21.


                                        DInU ET LES DIEITÎ                                              21q
     De même dans Osée, la fille de (miner porte le nom symbolique
     (IA Lo‑R?wkama (non prise et, piété) et son fils celui (le Lo‑,Immi
     (non mon peuple), Lie verset de Jérémie traduit en termes aussi
      ,dairs que possible ce nom d'elit, non‑dimi: ~ y let il une notion
    qui change ses dieux, ipetiqu'ils lie soient pas des Dieux et me,,
  peuple a elonagê sa gloire contre, ce qui n'est d'aucun secours , (').
     Les faux dieux ont un autre nom qu'il nous faut mentionner,

bien qu'il ne flg,re que rarement dans la Bible; n'est celui de Wthin,

morts. Au psaume cri‑ nous lisons: « Ils s'attachèrent à imal‑Peor

et mangèrent des victimes sacrifiées aux morts (méthinz) > (2); et

dans Isaie: ~ Un peuple ne consulter, t‑il pas son Dieul S'aères­

sera‑t il aux morte An faveur des vivantsl ~ ('). Ce, nom de noort,

luttait donné ici aux faux dieux par opposition su nom (16 Dieu

vivind, Et haî, que porte souvent le vrai Dieu dans la Bible; pont­

être aussi faut‑il y voir nue allusion aux fables paiennes qui par­

laient de naissance et de tuant (les Quelle que soit l'hypothèse

que l'on adopte, l'intention de leur dénier Don seulement la divi­

lifté, mais l'existence même, est manifeste.

     Don, autres appellations mollis négatives à proprement parler,

mais plus concluantes en lave,, de notre thèse, sont celles de

Scintillai et seiri't. Nous trouvons la première d'abord dans le Pon­

tattempis, puis dans les Psaumes: ~ Ils ont sacrifié aux idoles

~schêde,,) qui ne sont pas Dim, (Eloak, au singulier), à des Eloki,,~

qu'ils ne connaissaient point ~ ('). ~ Ils sacrifièrent tours fils et leurs

filles aux idoles ils répandirent le sang inument, le sang

de leurs fils et de leurs filles quils immolèrent aux idoles de Ca­

nos11 ~ ('). L'étymologie de ce mon soludim nous révèle l'idée de

force et, dans son application aux dieux da pagansme~ de puis­

sauce malfaisante te), car c'était sous ce caractère la que feu envi­

sageait à l'ordinaire les dieux des peuples vaincus, des ennemis

ou simplement (les étrangers.

La seconde épithète se trouve dans le Lévitique: < Ils n'of. friront plus leurs sacrifices aux nrini, avec lesquels ils a, prosdi~


Lista, 'ul, 19.

"I't, 17.

P~saùu, 1~l, 37.

         LI i..In. '11W                  1‑ octua d~ Vololus fait, Vite mmulJ V"l~‑t"

Igit. L. tx, tlldli.llt 1‑ latit Sihêdil Put butPâvtI,


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tuent v (~). La suite du passage, du Deutéronome plus haut cité conforme nue allusion évidents au culte des eïrin: « Ils ont sa, criüê aux schédim qui ne sont Pas Dieu, à des Elokim qu'ils ne connaissaient point, nouveaux, venus depuis Pei, et que vos pères ",avaient pas craints ~, et, pou, traduire littéralement ‑ car le. ,,,et employé ici est celui dont dérive Ië nom des seïriin ‑ x que vos pères n'avaient point séirê , ('). D'après la racine du mot, c'est, romans pour les schédiiii, de la force désordonnée qu'il s'agit lei (n)‑

La Bible ne se borne pas à proclamer l'inanité des dieux dit paganisme par les termes qu'elle emploie, pour les désigner; elle nie encore leur divinité de la facon la plus formelle. Nous laisse­rons de côté les innombrables passages qui jettent sur les idoles l'opprobre et le ridicule, car on pourrait nous objecter que les ëerivains sacrés ont seulement en vue 169 statues on les images et non point les dieux eux‑mêmes dont elle& étaient la reprAmm­talion. Voici quelques exemples qui paraîtront plus probants. x Sa­muel dit au peuple: N'ayez point de crainte ! Vous avez fait tout ce mal, mais ne vous détournez pas de l'Eternel, et servel, l'EternAl de tout votre coeur. Ne vous en détournez pas‑, sinon vous iriez après des choses do néant (% qui alapportont ni profit ci dêIi_ vrance, parce que ce sont des choses de néant ~ (5). Et Eêehias, dans sa prière: e fi est vrai, ô Pternel! que les rois d'Assyrie ont détruit les nations et ravagé leur pays, et qu'ils ont jeté leurs (lieux dans le fou; mais ce n'étaient point des dieux, c'étaient des ouvrages de mains d'homme, do bois et de la pierre, et ils les ont anéantis » ('). Dans ce passage, bien qu'il soit question des images, il n'est pas douteux que les divinités elles‑mêmes ne soient eonsidérées comme inexistantes. Ecoutons encore les paroles de David: « L'Etrnel est grand et très digne do louange, il est redoutable par‑dessus tous les dieux; eue tous les dieux des gentils sont de vaines idoles (élilfin), mais l'plieras] a crêé les cieux ~ ('). Aux yeux de l'écrivain sacré, celui qui a créé les cieux n'est pu seulement Dieu, il est le seul Dieu possible, puisqu'il a appelé à l'existence le totalité'


(I) 1,6vitiqu, 1vu, 7. .

o) =Z,r)lmn tDoi;V bt~ Dout6,ronomee xxxn~ 17,

     La ruine J.VW exprime 171dêe de bouleversement, tempête.
     Th.                     le et a. débni de lu Genou: LI terre (elit t.h.‑blh,,.
     . santand, "1' 20.
     a Rmi', 'OE, 18.


DIEU ET LES DIEUX 22J


des êtres et qu'ainsi il n'en est aucun qui ne lui doive la vie. Emin, lorsque Elie reproche .ni peuple (le clocher des deux côtés, il Wêcrie: < Si c'est Avaya qui est Dieu, allez aprèx lui! si c'est Baal, olles, après lui! ,, Et l'ép'euve te,,,,inêe, toute la foule con­fesse d'cas seul, voix; «. C'est Avoya qui esL Dieu! c'est Avaya qui est Die,! ~ ('). Pou, les Juifs, comme pour Elie qui leur adreme la parole, il ne peut être question de plusieurs dieux, même inè­ga,x en puissance; il n'y a qu'un seul Dieu, et c'est celui qu'adore lswaël.


xvin,

References