Israël et L'Humanité - Idolâtrie des Israélite

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Idolâtrie des Israélites.


Un autre argument dos adversaires (le l'inspiration biblique contre le monothéisme massique consiste à dire que les Israélites ont, à maintes reprises, fait aide didolâtrie, et ils trouvent pour


Ne pourrait‑on pas, en g6n6ralisant cette in6t]xode, dire que dne le rés:

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de Il création de monde . ....................................... entende ..11. de rourd. »pi,lt,cl i

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ternes, bibliques par‑devant (Inclus) ou par‑derriêre (oser), ce qui est devant on

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peaux un exemple du synonymie aveu le mot ro~kj esprit: e Oû irai‑je loin do

incurva (.ê,.hêe.) e Oâ fei,,!‑j. loi, de ta ces. ~ (P,. xxx,,, 7).

Quant en ‑et «A", il 1 peut Êtes suivi peur le 1.11 lutte grrolootem: os qui et

derrime (ahscè ajout le am, bmb) et de yole dérive ovidemment quer (erres).


DIEU ET LUS DIEUX 307

l'établir des textes en si grand nombre qu'en vérité ils n'ont que l'embarras du choix.

Mais la Bible ne déchwo‑t‑elle pas expressément que ce forent (les divinités étrangères qu'adorait ainsi Israël, par opposition à, Celui qui était le seul vrai Dieu dés Hébreux, ce qui fait,supposer que le monothéisme israélite oistait déjâl Sans doute les Ecri­tares elles‑mêmes, le livre (le Josué par exemple, attestent que les ancêtres d'Israël ont été idolatres. Mais il y a une grande diffé~ rencs, entre les déclarations des écrivains sacrés et les conjectures des critiques modernes, attendu que l'idée monothéiste, quoique déjà très claire depuis l'époque d'Abraham, a toujours été, d'après la Bible, se précisant et se généralisant davantage oit Israël, mDi~ traitement à ce qui se passait chez les autres peuples où la croyance au vrai Dieu, qui s'était conservée longtemps encore, devenait de plus en plus rare, de plus mi plus obscure.

En outre, les prophètes du viii‑ siècle qui, au dire des mêmes critiques, auraient été, les créateurs ut 11011 pas simplement les apôtres du mosaïsme, nous présentent incontestablement cette religion comme fort ancienne et en demandent la restauration dans sa pureté première. Auraim,bils pu tenir de tels discours à une génération non seulement polythéiste en général, mois qui, nous dit‑on, D'aurait pas eu le moindre souvenir d'un calte semblable àcelui que lui prêchaient 108 prûPhèteS~

Il faut remarquer que nulle part dans le Pcntateuque‑il n'est question de Baal, d'Aschéra, ni dAstarté comme nous devrions nous y attendre, si nous avions la au document postérieur à Boue. AI. Kuenen, qui assigne au Deutéronome un siècle de moins qu'aux écrits de ce prophète, est bien obligé d'on convenir: « Elle (Astarté) n'sel citée nulle part dans le Pentateuque. La déesse était pour­Lent connue dès uns haute antiquitê sur les côtes de la Syrie et à l'est du Jourdain où se trouve la ville d'Astaroth Knrilaim (Astarté aux deux cornes) ~.

Ajoutons que c'est le comble de l'ignorance ou de la lêg6rot6 que d'écrire comme le Nit ensuite le même auteur: « Qu1esd~ce que les bénédictions de la lune que récitant encore les israélites du 7 ait 16 de chaque nêomânie, le soir, quand se lève Pastre nocturne, sinon nu reste clé ce vieux culte naturalistel Ils disent par trois Pois: Que ce soit pour nous un, bon signe et un heureux présage pour nous et pour tout Israël!, En adressant cette priêre à la lune nouvelle, Israël S'élancé au‑devant d'elle et ajoute, les yeux‑toujours


LOS DIEU


fixés sur le croissant céleste: De même que je m'élance vers toi et ne puis tatteindre, qu'ainsi mes ennemis ne puissent m'atteindre pour me faire du mal ! ~, Si les bénédictions qui ne , s'adressent pas à le lune, mois à Di,, ne sujet de la lune (') étaient un reste persistant d'idolâtrie comme l'imagine cet auteur, il en faudrait dire autant du soleil (') et des étoiles, de la mer,et (les montagnes, des éclairs et (lu tojtu,,el des fieurs et des fruits, des monstres et de toute belle créature, puisque pour tout cela il est prescrit a Visraêlite de dire à Dieu une bénédiction spéciale (~). Mais la vê­rite est précisement le contraire do ce qu'%ffirme M. Kurnen; il est interdit 'de regarder Vastv, nocturne cri prononçant la bênê­diction que l'on adresse e DiA, à sa, sujet, comme de ployer les genoux pendant cette prière, ope illeviter la plus lointaine spics­,suce d'idolâtrie.

On se tromperait g,onflement dailleurs en cherchant ane preuve (le polythéisme dans les empruots réels qlls,nël a faits, à diffé­rentes époques, a, paganisme et même dans les actes formels didu­latrie qui peuvent à juste lit,, lui être reprochés; nous allotis,voir en effet, en poursuivant notre étude, que ai les rites étrangers au mosaisme que les Juifs ont parfois adaptés étaient répréhensibles, leur culte n'en demeurait par moins a, fond monothéiste.

Il nous font auparavant aborder une objection faite au menu­théisme mosaïque et qui est en apparence bien plus sérieuse que les précédentes. Nous voulons parler du rite étrange d'Azazel dans lequel les adversaires de l'inspiration biblique voient ne divinité formellement opposée a Avaya. Nous aurons la satisfaction de constate, que cette accusation aboutit, en dernière analyse, a dé monIrer la légitimité et la nuessiLê (le la théologie kabbalistiqnc,. (jeux qui persisteraient en effet à repousser les explications de la Kabbale devraient nous fournir une autre solution de la difficulté,


(‑) Cctt. b,,«~ (bé,~édi~tJ,m e 1. ee,~.t.: ~ B~.k ..t~r

Dion, Rad du qui p~, t. p.r.l. .. ë6 1~ i,.~ ~t d'.. .~.fflv d. t.

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Eue, la'. i ..it t'a A.t.., 1 lum ..Ùt Wu ~r6ate~ 1 » (Nae ded éditegro).

L,,bé.édi~ê,. ô. borkoh ea pn,,~nt. t..~ Ic. 18

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ce qui est tout simplement impossible, ou se résiglier à au voir dans le mosaïsme qu'une forme encore imparfaite de moiiothêiamo ou persistaient, plus on moins confusément, les anciennes tendances dualistes et polythéistes.


References